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Lecture en cours : Gone Messages : 1714 Date d'inscription : 22/12/2011 Age : 25
Sujet: Entre Dieu et moi, c'est fini • Katarina Mazetti Jeu 30 Aoû - 21:51
Entre Dieu et moi, c'est fini - Katarina Mazetti • 4,25
Résumé du livre
Linnea a seize ans, plein de complexes, et pas mal de questions qui lui trottent dans la tête. La seule qui la comprenait, c’était Pia. Sa meilleure amie, son amie pour la vie. Enfin, pour cent vingt jours, « sans compter les week-ends », Linnea a fait le calcul une fois. Puisque Pia est morte. Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l’amour, de la mode, de Markus, le beau gosse dont toutes les filles rêvent, du prof de bio qui devait se faire interner mais qui au lieu de ça harcèle la classe entière, de son père qu’elle voit deux fois par an, de sa mère qui a une liaison tumultueuse. Et de Dieu. Qu’est-ce que ça signifie « croire en Dieu »? Car ce n’est pas exactement la même chose que le père Noël. Comment le trouver ? C’est-à-dire où le chercher et comment le reconnaître ? Une chose est sûre, ce n’est pas la peine de compter sur Dieu pour résoudre les équations du second degré. Alors est-ce que ça vaut vraiment la peine d’en parler ? Un jour pourtant, Pia se jette sous un train. Évidemment Linnea se demande comment elle s’est débrouillée pour ne s’apercevoir de rien. Mais bon, c’est aussi un peu la faute de Pia, elle aurait peut-être pu commencer par se confier à elle, non ? Elles étaient amies quand même. Heureusement, il y a le mur du dressing de sa grand-mère. Avec une tapisserie orange et kaki pleine de motifs géométriques. On y trouve toujours quelque chose de nouveau quand on le fixe un moment en pensant à autre chose. L’avantage d’un mur, c’est qu’on peut tout lui confier. Il a le temps, il recueille les plaintes, les accès de colère, et ne hoche pas la tête en faisant semblant de comprendre. C’est parfait pour oublier. Puisque comme dit la grand-mère de Linnea, « pour pouvoir oublier quelque chose, il faut d’abord bien s’en souvenir ». Alors Linnea se souvient, de Pia, de leur rencontre, de leur amitié. Et elle raconte tout ça à son mur, avec une bonne dose d’humour et d’auto-dérision.
Extrait
J'avais beau avoir compris qu'elle était morte, il restait toujours la question du pourquoi, et là, je lui en ai voulu. Tous les soirs, je la maudissais, je lui disais qu'elle ne valait pas un clou et je perdais confiance en ma capacité de juger les gens parce que je n'avais pas tout de suite vu clair dans le jeu de cette nouille. Elle aurait quand même pu essayer de m'en parler, bon Dieu! Peu importe ce que c'était! Comment a-t-elle osé ne même pas me dire au recevoir, sans même laisser une lettre? Mais pour qui se prenait-elle? Je ne voulais plus jamais lui parler, enfin je n'aurais plus jamais voulu lui parler, enfin peu importe.
Citations
Rien pour le moment.
Dernière édition par Naya Eraclya le Jeu 31 Oct - 17:50, édité 2 fois (Raison : J'ai oublié de mettre le sondage !!! O.O)